Locations meublées à Ashdod pour long terme

Long Term furnished Rentals in Ashdod

Vous comptez acheter un appartement et en attendant vous cherchez une location meublée à Ashdod.

Ou vous allez faire votre Alya et vous avez besoin de faire un essai d'adaptation en Israël en attendant de vous fixer.

Pour différentes raisons vous cherchez une location meublée à moyen ou long terme à Ashdod.

J'ai un grand choix de locations meublées à vous proposer.

------------------------------------------------

Please take a look at the links below to see the furnished apartments available for long term rent in Ashdod.

 

Certaines locations sont disponibles toute l'année et d'autres sont libres jusqu'à fin juin ou juillet car les propriétaires y passent leurs vacances.

Veuillez SVP faire votre choix sur la liste ci-dessous puis me contacter pour vérifier la disponibilité et négocier le tarif avec les propriétaires.

 

A bientôt,

Sylvia Assouline

Me contacter


Youd Beit

REF/Raymonde

 

City

REF/INES

 

MARINA

REF/SABINE

 

REF/DAVID

 

EGOZ penthouse+

piscine

 

Costa Del Sol

REF/SOPHIE dispo en septembre 2024


 

AVIS aux propriétaires d'appartements à louer !

 

Jusqu'à 5100sh /Mois de loyer pas d'imposition

 

L’Autorité des taxes israéliennes ne plaisante plus avec les revenus locatifs

En Israël, les sommes perçues grâce à la location doivent être signalées au Trésor. Beaucoup seraient donc nombreux à y échapper. L’Autorité des taxes a entrepris une vaste campagne auprès de 118 000 personnes pour rappeler à l’ordre les potentiels contrevenants. Plus de 5 000 courriers ont déjà été envoyés. Les premiers à être dans le collimateur : les propriétaires de 3 appartements ou plus. (http://israelmagazine.co.il/a-la-une/traques-par-fisc/)

Les revenus imposables en Israël comprennent aussi bien les revenus du travail (salaires, revenus des travailleurs indépendants, retraites complémentaires) que les revenus du capital (revenus de capitaux mobiliers tels que dividendes et intérêts, revenus de capitaux immobiliers, royalties, etc.).

Pour les salariés, l’impôt est prélevé mensuellement à la source sur la base des salaires bruts versés par l’employeur. C’est à ce dernier qu’incombe la charge du versement de l’impôt tous les 15 du mois ou tous les deux mois en fonction de la taille de la société.

Les travailleurs indépendants et les sociétés à responsabilité limitée déclarent quant à eux annuellement leurs revenus. Ils doivent ensuite payer l’impôt en avance sur la base des revenus perçus l’année précédente.

Les revenus du capital font l’objet d’une imposition séparée et soumis à des taux spécifiques, ils ne sont donc pas intégrés dans l’impôt sur le revenu.

 

 

 

Fiscalité immobilière en Israel : Imposition des revenus locatifs d’appartements

Propriétaire d’un ou plusieurs appartements donnés en location en Israel, vous êtes israelien ou pas, vous devez declarer vos revenus fonciers aux impôts chaque année.
Le fait de déclarer ces revenus n’entrainent pas obligatoirement un impôt à payer.
Plusieurs articles de lois s’appliquent. Votre conseiller devra dans un premier temps évaluer vos revenus et ensuite adapter ces lois fiscales à votre profil. Afin d’éviter une imposition trop lourde qui freinerait cette activite de location
immobilière, l’administration fiscale propose trois options au contribuable.

Première possibilité :
Selon l’article 122, le taux d’imposition sur les loyers d’appartements à usage d’habitation est de 10% ( taux forfaitaire ).
Sur chaque revenu le proprietaire doit reverser au titre de l’impôt, la somme de 10% de ces revenus encaissés. L’impôt doit être acquitté en cours d’année et soldé en fin d’année.

Deuxième possibilité :
Sur les revenus locatifs à usage d’habitation , il est déduit une décote mensuelle de la somme de 4 790 nis par mois loué.
Cette exonération est déterminée à l’année. Une nouvelle assiette d’imposition est calculée. A cela s’applique les barèmes de l’impôt sur le revenu.

Troisième possibilité :
Il est fait une évalutation réelle des revenus nets par appartement. A l’ensemble de ces revenus est deduit les charges reconnues par le Mass Ahnassa comme par exemple les intérêts d’emprunts, les amortissements de l’appartement ….
Sur le bénéfice net de ces revenus fonciers est appliqué les barèmes de l’impôt revenu ainsi que d’autres déductions fiscales si le contribuable en a.

Le calcul de ces trois simulations fiscales est indispensable afin de minimiser l’impôt à payer et de rester dans la légalité.
Cette étude fiscale doit être renouvelée chaque année. Quelques points à souligner :

1/ L’imposition des loyers se fait selon les encaissements, même pour les loyers payés en avance ( article 8b)
2/ La location d’un appartement à usage d’habitation n’est pas soumis à TVA
3/ Un proprietaire âgé de plus de 65 ans vivant dans une maison de retraite et ayant des revenus fonciers de son ancienne habitation principale peut obtenir une exonération d’impots ( article 22(9) ).
4/ Un propriétaire retraité peut bénéficier d’une exonération de 35% de ses revenus fonciers dans le cas ou il n’a pas d’autres sources de revenus ( article 9 d)
5/ Un proprietaire ayant une invalidité à 100% reconnue du Bitouah Leoumi peut bénéficier d’une exonération de ces revenus fonciers a hauteur de 69 480 nis à l’année ( article 9(5)(b) ).

La declaration annuelle des revenus doit être deposee aux impots avant le 31 mai de chaque année.

Le Cabinet est à votre disposition pour vous conseiller et établir vos déclarations fiscales.

Ces informations ne remplacent pas notre consultation, ni le service et le travail que nous pouvons apporter à votre dossier.
Plus d’infos fiscales, retrouvez nous sur www -dh. accounting com.

Deborah Haddad
Port : 054-5837463

- See more at: http://www.ashdodcafe.com/2012/03/23/fiscalite-immobiliere-en-israel-imposition-des-revenus-locatifs-dappartements/#sthash.JErzZups.dpuf

 

 

------------------------------------------------------------------------------------------------

Tout savoir sur l’impôt sur le revenu locatif en Israël en 2023

Bonne nouvelle pour les propriétaires de biens immobiliers en Israël pour cette nouvelle année 2023 : Le plafond d’imposition augmente ! 

Vous êtes propriétaire d’un ou de plusieurs biens immobiliers en Israël ?Vous avez perçu des revenus fonciers en Israël entre le 1/1/2022 et le 31/12/2022 ? Attention ! Vous avez jusqu’au 31 janvier pour déclarer vos revenus locatifs sans avoir à payer d’intérêts de retard.

Nous nous proposons d’aborder les points suivants :

  • Êtes-vous concerné par cette déclaration de revenus locatifs ?
  • Quelles options existent en Israël pour le calcul d’imposition ?
  • Quelle est l’option la plus adaptée a votre cas ?

Est-ce que cette déclaration de revenus locatifs vous concerne ? Comment le savoir ?

  • Toutes personnes ayant investi dans un bien immobilier en Israël est astreint à cette déclaration ; cela est valable aussi bien pour un olé hadash, une personne ayant dépassé les 10 ans d’alyah, ou même un touriste.
  • Cette déclaration sur les revenus locatifs concerne uniquement les locations de longue durée. Il est donc impératif de savoir si votre bien entre dans la catégorie courte ou longue durée.
  • Enfin, il faut savoir si vos revenus locatifs, considérés comme des revenus passifs aux yeux du FISC israélien, dépassent un certain plafond. Ce plafond étant fixé chaque année par les impôts israéliens, vous devez tous les ans en vérifier le montant.

Pour 2022, le plafond était de 5 196 nis par mois. 

En 2023, le plafond est fixé à la hausse, et sera de 5 471 nis par mois.  

N’oubliez pas, vous avez jusqu’au 31 janvier pour faire votre déclaration. Rapprochez-vous de notre Cabinet d’Expertise Comptable et fiscalité pour être sûr d’être à jour.

Quels sont les différents calculs d’imposition qui existent en Israël ?

Même si vous louez votre bien en courte durée et que vous n’êtes donc pas astreint à une déclaration de revenus locatifs, vous êtes quand même imposable, ces revenus étant considérés comme des revenus commerciaux.

En Israël, il existe plusieurs manières de déclarer vos revenus locatifs.

Mais lequel choisir ?

Il existe 3 circuits différents:

Circuit 1 : le taux d’imposition de 10% 

Il s’agit du circuit le plus rapide et le plus simple. Le propriétaire doit payer 10% du montant des loyers perçus en Israël. Ici, il n’est pas nécessaire de faire un bilan ni de passer par un expert-comptable, une simple déclaration suffit.

Certes très pratique, ce circuit des 10% n’est pas tout le temps le plus optimal

Cas pratique :

Je suis propriétaire d’un bien que je loue 8 000 nis/mois.
Mes revenus locatifs s’élèvent donc à 96 000 nis/an

Mon taux d’imposition est donc de 9600 nis à régler aux impôts israéliens.

Si je choisis le circuit 1, je ne peux déduire aucun frais.

Circuit 2 : Le « Massloul shouli »

Ce circuit nécessite l’intervention d’un expert-comptable pour le bilan.

Ici, et grâce à un montage comptable, il est possible de déduire du montant des loyers certaines charges ( amortissement de son bien immobilier, dépenses courantes comme des travaux de rénovation, frais d’avocats, frais d’agence, frais bancaires …)

 Avantage du massloul shlouli:

Grâce au montage comptable effectué par votre expert-comptable, il est possible que vous n’ayez plus d’impôts à payer.

Circuit 3 : la prise en compte du plafond d’exonération

Comme nous l’avons dit, ce plafond d’exonération est revu chaque année par le FISC israélien.
Pour 2023, il a été fixé à 5471 shekels ( il était en 2022 de 5196 shekels)
Ici aussi, l’intervention d’un cabinet comptable est nécessaire.

Quel est le circuit d’imposition le plus rentable ? Ai-je le droit de mélanger les modalités d’imposition ?

Avant tout, sachez qu’il n’existe pas un circuit optimal qui s’adresse à tous. Tout dépend de votre situation. Il est même possible de modifier au fil des ans votre calcul d’imposition ; et cela est surtout le cas pour les propriétaires qui possèdent plusieurs appartements. En effet, d’un appartement a l’autre, les loyers sont différents, le statut aussi ( longue ou courte durée).

Location longue durée, location courte durée, votre cœur balance ?!

Avantages de la location longue durée en Israël :

  • Simple déclaration annuelle
  • Activité minime (montant du loyer annuel fixé par avance)
  • Les revenus sont plutôt sécurisés, surtout en période de pandémie durant laquelle les touristes ne peuvent pas venir, ce qui réduit le nombre de demandes de locations saisonnières.

Inconvénients de la location longue durée en Israël :

  • L’appartement ne peut pas être utilisé par son propriétaire.
  • Revenus pouvant être moins conséquents que pour une location saisonnière.

Nombreux propriétaires optent pour l’imposition de 10% alors qu’un calcul professionnel plus précis peut amener le contribuable à réduire son paiement jusqu’à une exonération totale de son impôt.

Il est donc indispensable de vous faire assister d’un spécialiste expert qui vous dirigera vers l’option la plus bénéfique et bien déclarer les revenus locatifs en Israël.

Ce qu’il faut retenir !

  • Ne ratez pas la date butoir pour votre déclaration de revenus locatifs. Vous avez jusqu’au 31 janvier 2023
  • Le plafond fixé cette année par les autorités fiscales israéliennes augmente et passe cette année à 5 471 shekels
  • Nous rappelons aux propriétaires d’appartement que la déclaration de revenus locatifs ne veut pas forcément dire qu’il y a de l’impôt à payer. Bien souvent, le mécanisme de déduction admis en Israël permet d’exonérer les revenus locatifs.
  • Entourez-vous d’un cabinet d’experts spécialisé dans ce genre d’opérations, afin de faire les bons choix et surtout, les plus rentables.

 

Pour plus d’informations sur votre déclaration :

Natco Consulting

Expertise comptable et fiscale Internationale

https://natco-consulting.com/ 

Petit récapitulatif indispensable sur la fiscalité lors de l’achat d’un bien immobilier  

Ces dernières années il y a eu plusieurs changements dans le domaine de l’imposition immobilière – voici un petit récapitulatif qui vous permettra de vous y retrouver :

La taxe d’acquisition
C’est une taxe progressive. Son montant est calculé selon un certain pourcentage de la valeur de l’achat, tous les acheteurs de droits immobiliers doivent payer la taxe d’acquisition. Le taux de la taxe est différent selon la nature de la propriété. Les tranches de taxe changent chaque trimestre et il faut vérifier avant chaque achat quelle est la taxe applicable à la transaction spécifique.

Lorsqu’il s’agit d’une résidence principale :
l’acheteur bénéficiera d’un paiement de taxe réduit, voire même d’un exonération totale si le prix de l’appartement est inférieur à la première échelle de taxe.

Un appartement résidentiel supplémentaire ou investissement  :
si l’acheteur est déjà propriétaire d’un appartement ou plus la taxe d’acquisition sera de 8%.

Souvent les acheteurs sont contraints d’acheter un bien avant d’avoir réussi à vendre l’appartement dont ils sont propriétaires – pour éviter cette situation selon laquelle ils doivent payer la taxe complète comme un second appartement, le législateur a déterminé que quiconque achète un appartement au moment où il a déjà un appartement, pourra demander à payer la taxe d’acquisition comme un appartement unique, s’ il s’engage à vendre son premier appartement au cours des 18 mois qui suivent l’acquisition du nouvel appartement. Si le deuxième appartement a été acheté auprès d’un entrepreneur on peut vendre le premier appartement dans les douze mois à compter de la date à laquelle l’acheteur est entré en possession de l’appartement.

Biens immobiliers commerciaux  (terrains, locaux commerciaux et autres)
la taxe sera de 6% du prix du bien. Il faudrait aussi prendre en considération que toute transaction devra supporter  la T.V.A

Exonérations et réductions : il y a des réductions, des exemptions et des allègements fiscaux pour les nouveaux immigrants, les handicapés, les membres de familles endeuillées, aux victimes d’actes hostiles et aussi quand le bien est une donation.

La taxe sur la plus-value
La taxe sur la plus-value s’applique lorsque le vendeur fait une différence de profit entre le prix payé pour le bien à l’achat et le prix qu’il a reçu pour le bien à la vente.

La loi autorise le vendeur d’appartements, sous certaines conditions, à recevoir une exemption du paiement de l’impôt sur la plus-value. Une utilisation intelligente des dispositions d’exemption fixées par la loi peut faire économiser des sommes importantes au vendeur. Il est important avant la vente de l’appartement de faire une planification des impôts et d’acheminer l’opération afin de faire usage de l’exemption appropriée selon les circonstances.

La loi fixe plusieurs critères pour l’exonération de la taxe, un de ces critères est une exonération tous les 4 ans ou 18 mois (cela dépend si le vendeur a plus d’un appartement à la fois).

Avant de demander une exemption de la taxe de la plus-value, il faut vérifier si le vendeur a fait un bénéfice avec cette vente, car il est possible qu’il ait vendu son bien au prix d’achat ou que des dépenses élevées sur le bien n’aient pas laissé de différence. Dans ce cas il est préférable d’éviter de demander l’exemption et de maintenir le droit de l’utiliser pour un autre bien ou le  prochain appartement.

La taxe d’amélioration (taxe municipale) 

La taxe d’amélioration est imposée à un propriétaire de droits fonciers sur un bien immobilier suite à l’approbation de certains plans par les comités de planification et de construction municipale.

Cette situation se produit habituellement dans les cas où la valeur du terrain a augmenté suite à l’approbation des plans pour agrandir l’utilisation des droits fonciers (par exemple, un plan qui permet d’ajouter une autre pièce, un entrepôt ou une véranda fermée). La hauteur de la taxe d’amélioration est la moitié de la hauteur de la plus-value, à savoir, la moitié du taux d’élévation de la valeur marchande du bien immobilier.

Fiscalité sur la location lorsqu’il s’agit d’appartement :
Le plafond des loyers perçu pour les locations bénéficiant de l’exemption d’impôt sur le revenu était en 2016 de 5.030 Nis par mois. Pour les propriétaires percevant des loyers plus élevés, il existe deux options principales :

1ère option :

C’est un taux d’imposition forfaitaire de 10% sur la location. Le paiement est calculé sur le chiffre d’affaires sans déduction des dépenses.

Cette procédure est très simple à mettre en oeuvre car il n’est pas exigé de rapport annuel détaillé; mais un rapport allégé sur les revenus de la location par le biais d’un formulaire et le paiement de l’impôt ( il y a même possibilité de le faire par le biais du site internet des services fiscaux).

Dans le cas où la taxe n’a pas été payée pendant l’année elle  est payable jusqu’au 30 janvier de l’année suivante (soit jusqu’au 30/01/2016 par rapport à la location de l’année 2015).

Compte tenu de la simplicité de la procédure  – 10% (en vertu de l’article 122 de l’ordonnance impôt sur le revenu), cette option est devenue très populaire ces dernières années.

2ème option :

Pour utiliser l’exonération partielle d’impôt, lorsque dans le cadre de la taxation le montant du loyer est supérieur au plafond; celui-ci sera double et donc imposable.

A titre d’exemple, dans la mesure où le loyer dépasse le plafond de 1.000 Nis (soit 6.030 Nis au lieu de 5.030).

La charge d’impôt ne sera pas seulement de 1000, mais de 2000 en sus du plafond (en fait  il faudra doubler le montant au-delà du plafond).

Vous comprenez que lorsque le loyer est le double du plafond requis (10.060 nis par mois en 2016). Il n’y aura aucune exemption. Et la taxe pour tout le loyer sera exigée.

Le taux d’imposition sur le débiteur sera en conformité avec les tranches d’imposition ordinaires (48% d’impôt majoré de 2% pour les salariés à revenu élevé). Par contre le débiteur pourra  déduire tous les frais liés à la location de l’appartement, tels que l’entretien, les intérêts hypothécaires, l’amortissement et ainsi de suite.

Parfois, le choix de la deuxième option, par le paiement sur la base de la double imposition sur les résultats donne  un bien meilleur résultat sur le calcul de l’impôt. En effet le propriétaire peut déduire des dépenses plus importantes  (par exemple l’amortissement et le financement).

Cependant, même en l’absence de charges importantes dans la deuxième option, cela  peut être pour le bailleur plus significativement lucratif, notamment pour ceux qui ont plus de 60 ans, et qu’ils n’utilisent pas les avantages liés à  leurs tranches d’imposition, ceux qui ne travaillent pas  ou ceux qui sont résidents étrangers.

A titre d’illustration seulement – une femme de plus de 60 ans qui n’a pas de revenus supplémentaires en dehors de la location de son appartement pour un montant de 8.000 nis par mois.

Dans le cas où elle choisit l’option de l’imposition  de 10%, elle va payer un    montant de 800 nis par mois soit 9.600 nis par an.

Par contre le choix de l’option  de la taxe normale avec une exemption partielle entraînera un résultat fiscal nul de plusieurs dizaines de shekels chaque année dans son ensemble, avant même de déduire des dépenses.

Il est important de souligner que les vérifications doivent se faire individuellement par rapport à chacun, en fonction des éléments spécifiques. Outre les économies d’impôts il faut  aussi considérer les coûts de dépôt du rapport, le cas échéant, car même si le résultat du calcul de l’impôt conduirait à zéro, il y a cependant une obligation de déposer un rapport annuel auprès des services fiscaux.

Lorsqu’il s’agit de biens commerciaux  : Sur les  revenus de location commerciale il y aura  lieu de régler l’impôt sur le revenu dont le pallier initial est de 30%; sur les  revenus locatifs s’ajouteront les revenus personnels des propriétaires et par conséquent son impôt sur les revenus. Mais, il est important de préciser qu’il existe  différents types d’actifs, divers types d’investissements, différentes possibilités de méthodes d’investissement (par une société, partenariat ou privé) et conformément aux différentes options différentes conceptions de l’impôt. Toute personne, entreprise ou autres se devra d’examiner les incidences fiscales de la transaction et les taxes qui en dépendent  à toutes les étapes. 

(Le but de ces informations juridiques et économiques, est de tracer les grandes lignes du droit en Israël.  Ces lignes ne peuvent  cependant pas remplacer une consultation auprès d’un avocat)

Sitruk & Co
Cabinet d’Avocats & Notaire